Retour aux nouvelles

30 Juin 2015

30 comportements à bannir au boulot

Multiplier les pauses

Vous prenez un café peu après votre arrivée au bureau le temps de saluer tout le monde? Vous enchaînez avec une pause avant le déjeuner? L’après-midi, vos collègues ont plus de chance de vous trouver au coin fumeur ou à la cafétéria qu’à votre bureau? Sachez qu’avec cette attitude vous passerez pour un employé sociable, mais vous ne serez pas considéré comme quelqu’un de sérieux et impliqué. Gardez à l’esprit que vous êtes au bureau pour travailler et non pas pour vous faire des amis. Bien entendu, il est impossible de travailler efficacement en passant toute la journée fixé à son poste de travail. Il faut savoir trouver le juste milieu.

Contester sa hiérarchie

Vous pensez que votre cadre est un tyran? Vous estimez que votre direction ne vous reconnaît pas à sa juste valeur? Un conseil, évitez de le crier sur tous les toits. Si vous avez un message à faire passer, la meilleure chose à faire est d’en parler directement à la personne intéressée. Les cadres sont souvent plus à l’écoute que ce que l’on peut penser de prime abord. Si vous passez votre temps à contester en public les décisions de vos supérieurs, vous acquerrez  bien vite la réputation d’un fauteur de troubles ou d’une personne incapable de se soumettre à un minimum de discipline.

Manquer d’humilité

Vous pensez à juste titre avoir mené à bien une tâche difficile? Bravo. Vous êtes en droit d’être fier. Mais attention, à rester les pieds sur terre. Le succès se construit avant tout en équipe et vous n’êtes pas le seul à pouvoir vous vanter. Manquer d’humilité fait de vous un être égoïste incapable de reconnaître les efforts collectifs. Penser féliciter les personnes qui ont contribué au succès plutôt que de vous tresser seul les lauriers. Dans une entreprise, chacun est de toute manière au fait du rôle de tout le monde. Le manque de modestie peut donc également vous faire passer pour un imposteur puisque cela suppose que vous appropriez le travail d’un autre.

Faire preuve de mauvaise volonté

C’est impossible. Je n’y arriverai jamais. Je ne peux pas. Qu’est-ce que ça va être long. Toutes ces phrases peuvent être interprétées comme un manque de bonne volonté. Elles donnent le sentiment de ne pas être motivé, de ne pas vouloir se dépasser. Dans le monde professionnel, il est nécessaire d’adopter une posture proactive et dynamique. Vous avez tout à fait le droit de trouver mission trop difficile. Dans ce cas, demandez à votre supérieur de l’assistance, des délais moins serrés ou une tâche que vous pensez être en mesure d’accomplir.

Partir tôt, arriver tard

Vous arrivez à votre poste une heure après les autres et êtes dehors lorsque vos collègues triment encore? Soyez conscient que ce comportement fait de vous un passager clandestin qui profite du travail d’une équipe sans avoir fourni les efforts nécessaires. C’est le meilleur moyen pour ne pas être apprécié de vos collègues qui travaillent plus que vous pour un salaire parfois similaire. À l’heure où tout travail s’effectue en équipe, se défausser est souvent très mal vu. Pour des raisons personnelles, il se peut que vous soyez contraint de quitter le travail plus tôt que le reste de l’équipe. Dans ce cas, raccourcissez votre pause déjeuner ou venez travailler plus tôt.

Critiquer ses collègues

Que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, évitez dans la mesure du possible de critiquer vos collègues. Si un problème survient, il est recommandé de le traiter avec eux en face à face plutôt que je parleur dans leur dos. Cela évitera d’instaurer une mauvaise ambiance au bureau. Passer son temps à critiquer les autres ne vous sera d’aucun bénéfice. Au travail comme dans la vie, on ne s’élève pas en abaissant les autres. La critique publique risque en outre de susciter de la rancœur chez vos collègues. Si vous êtes dur avec les autres, ne vous attendez à aucun soutien lorsque vous traversez un moment difficile.

Passer sa vie au bureau

Certains salariés estiment que travailler plus que leurs collègues est un bon moyen de montrer son implication et d’obtenir une promotion. Hélas, l’effet est bien souvent inverse. Faire de votre poste de travail votre second foyer est souvent un mauvais signal envoyé à votre employeur. Cela peut montrer que vous ne travaillez pas assez vite et que vous manquez d’organisation. Votre supérieur pourra se poser des questions : avez-vous une vie sans interaction sociale? Pourquoi mettez-vous plus de temps que vos collègues pour faire le même travail? Il est important de montrer que vous avez également une existence en dehors de votre vie professionnelle.

Manquer de ponctualité

Que ce soit lors d’une banale journée de travail ou à l’occasion d’un rendez-vous professionnel, il n’y a rien de plus agaçant que le manque de ponctualité. Un léger retard peut être toléré, mais il ne doit en aucun cas se reproduire systématiquement. Ne pas respecter les horaires est un signe de désinvolture. C’est un manque de respect pour vos collègues qui ont surveillé leur montre et qui perdent de précieuses minutes à vous attendre. Inutile de vous préciser qu’ils ne diront pas du bien de vous. Si vous multipliez les retards, n’hésitez pas à mettre plusieurs alertes sur votre téléphone portable.

Prendre ses collègues de haut

Vous estimez qu’au vu de votre place dans l’entreprise, vous n’avez pas à vous mélanger aux personnes placées hiérarchiquement en dessous de vous? Grave erreur. Stagiaires, assistants, intérimaires… tout le monde participe à son échelle à la bonne marche de l’entreprise. Au-delà des règles de politesse de base, chaque individu mérite de la considération pour qu’il donne le meilleur de lui-même. Sachez également  que le monde professionnel est petit. Le stagiaire à qui vous ne dites pas bonjour peut tout à fait, d’ici quelques années, devenir un de vos collègues, voire votre supérieur.

Flatter ses supérieurs

Pour vous faire bien voir au travail, vous flattez vos supérieurs sur leur tenue vestimentaire, leur prestance ou leur état d’esprit? Ce n’est pas la meilleure stratégie à adopter. Aux yeux de vos collègues, vous passerez pour un lèche-botte et un opportuniste. Et vos supérieurs ne seront pas dupes de toutes ces flatteries. Votre hiérarchie attend seulement de vous que vous meniez à bien les missions qui vous sont confiées. Restez centré sur les tâches à mener.

Marcher sur les plates-bandes des collègues

Dans le monde professionnel, il est souvent bien vu de faire preuve d’initiative. Mais attention à ne pas vous éloigner des prérogatives qui vous sont confiées par votre fiche de poste. En sortant de vos missions, vous risquez de marcher sur les plates-bandes d’un collègue qui n’appréciera pas forcément votre interventionnisme. Vous ne pouvez pas mieux connaître les enjeux que lui. En outre, vous donnerez l’impression d’être un donneur de leçon ou une personne qui se mêle de ce qui ne la regarde pas. Vous avez des suggestions à faire, où vous pensez pouvoir apporter un regard neuf et neutre? Parlez-en discrètement à la personne concernée.

Ne jamais prendre la parole

Vous êtes confronté à un problème, vous avez une suggestion à émettre, mais vous n’osez pas vous exprimer? Changez tout de suite de comportement. Le mutisme est à bannir dans le monde du travail. C’est un signe de manque de confiance problématique. Toutes les professions nécessitent de prendre la parole, de convaincre et d’argumenter. Gardez en tête que personne ne critiquera votre audace. Regardez autour de vous et vous noterez que les personnes les plus timides sont souvent les plus pertinentes. Si la timidité vous semble un obstacle insurmontable, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un coach ou à suivre des cours de théâtre.

Être trop bavard

Si le mutisme est à bannir, faites attention à ne pas trop en dire. Que le bavardage soit professionnel ou personnel ne change rien, vous risquez de déranger vos collègues qui souhaitent travailler dans le calme. D’autre part, il est inutile de raconter tout ce que vous faites. Ce sont sur des réalisations concrètes que se mesurent vos réelles capacités. Le bavardage est souvent perçu comme une preuve d’incompétence. Une personne maîtrisant ses dossiers ne cherchera pas à noyer son interlocuteur sous les mots. Rien ne sert de recourir à la parole si les actes ne suivent pas. Les bavards doivent savoir que moins nous parlons, plus nous sommes écoutés.

Geindre perpétuellement

Surcharge de travail, santé, transports, collègues, argent… Tous les moyens sont bons pour se plaindre. Et au bureau, rien n’est pire qu’un «Calimero» qui donne le sentiment de s’attirer tous les ennuis du monde. Si vous avez le sentiment d’être geignard, portez une plus grande attention aux personnes qui vous entourent. Ils ne sont pas des assistants sociaux. Soyez-en certain, ils ne supportent plus vos jérémiades quotidiennes. Vous constaterez sûrement que vos collègues ont bien souvent autant de raisons de se plaindre que vous. Pourtant, dans un souci d’intérêt général, ils restent bien plus silencieux que vous. Un conseil, imitez-les.

Faire preuve de familiarité

Quelle que soit votre profession, il est important  d’entretenir des bonnes relations avec vos collègues. Mais ces rapports doivent rester entièrement professionnels. La familiarité est à exclure. Ne considérez pas vos collègues comme des copains d’enfance. Vous n’avez rien à y gagner. Une jeune femme, une personne plus âgée, un supérieur hiérarchique n’ont pas les mêmes codes sociaux que vous. Si vous êtes correct et pli, ce n’est pas la peine d’aller plus loin, au risque de causer des impairs. Même si vous êtes de la même génération ou de la même école que vos collègues, la familiarité n’a pas sa place au bureau.

Faire trop de blagues

Nous sommes tous plus efficaces dans un climat de travail détendu. Mais l’open space ne doit pas se transformer en scène de stand-up pour autant. Si des jeux de mots ou des blagues peuvent être faites occasionnellement, soyez prudent. N’attaquez jamais sur les thèmes tels que les opinions et les croyances qui peuvent être clivantes. L’humour est dangereux, car ce qui peut être drôle pour vous peut offenser vos collègues. Si vous n’êtes pas sûr de l’effet d’un trait d’humour, abstenez-vous. Autre problème, le blagueur de service peine souvent à être pris au sérieux. Ce n’est pas spontanément à lui que la direction proposera une mission intéressante ou une promotion.

Trop évoquer sa vie privée

Au travail, nous ne sommes pas des robots. Nous pouvons échanger sur des sujets qui vont au-delà de la vie professionnelle. Mais attention aux abus. Votre dernier rendez-vous amoureux, le rhume de votre fils cadet ou le menu de votre prochain dîner ne sont pas des éléments à mentionner au quotidien. Au mieux, vous serez confronté à de l’ignorance. Au pire, vous risquez d’exaspérer vos collègues qui ne demandent qu’à travailler en paix. Si jamais vous souhaitez parler de choses personnelles avec un collègue avec qui vous êtes proche, faites-le dans un lieu discret autour d’un café ou le temps de la pause de midi.

Ne pas se remettre en cause

Tout le monde fait des erreurs au travail. Il est malhonnête d’affirmer l’inverse. Si se focaliser sur une faute est un signe de manque de confiance en soi, gare à ne pas tomber dans l’excès inverse : l’absence de remise en cause. Ne pas reconnaître une erreur, c’est montrer que vous n’êtes pas ouvert à la critique et au dialogue. C’est refuser d’apprendre pour s’améliorer. Des défauts rédhibitoires dans le monde professionnel. Ne pas se remettre en cause revient également à ne pas assumer ses actes et à se défausser sur vos collègues.

Trop se critiquer en public

Il est parfois nécessaire de savoir reconnaître ses erreurs pour être plus performant par la suite. Mais attention à ne pas basculer dans l’auto critique à outrance. Elle peut être un moteur qui permet aux personnes très exigeantes de s’améliorer sans cesse. Mais à condition qu’elle reste silencieuse. Se dévaloriser sans cesse en public vous fait passer pour quelqu’un qui n’a pas confiance en ses capacités. Ce qui n’est pas idéal pour convaincre des clients, obtenir une promotion ou encore encadrer une équipe. Cette attitude risque également de brider certaines de vos initiatives qui sont potentiellement très intéressantes.

Mentir à ses collègues

Le mensonge est un vilain défaut. Et c’est particulièrement vrai dans la vie professionnelle. Pourquoi mentir au travail? Pour gagner du temps? Pour cacher une mauvaise performance? Sachez que, quel que soit le motif et l’importance du mensonge, le risque de ce dernier soit découvert est très élevé. Vos collègues et vos supérieurs vous en voudront de leur avoir caché la vérité. Comment pourront-ils vous faire confiance par la suite? Face à un problème, il est préférable de dire tout de suite la vérité. C’est ainsi que se trouvent les meilleures solutions. Et que s’évitent bien des problèmes.

Passer du coq à l’âne

Fiabilité, force de travail et rigueur sont des compétences centrales pour réussir professionnellement. Vos collègues et vos supérieurs seront rassurés de savoir que vous êtes capables de mener à bien un ou plusieurs projets. En revanche, disperser ses efforts est un grave défaut qui fait de vous une personne dilettante, incapable de travailler en autonomie. Un travailleur trop dispersé aura de la peine à gagner de l’autonomie et de nouvelles responsabilités. Si vous éprouvez des difficultés à rester concentré, n’hésitez pas à tenir un agenda avec des délais que vous devez vous forcer à tenir.

Être trop tactile avec ses collègues

Une tape sur l’épaule, une bise tous les matins, retenir son interlocuteur par le bras… Ces petits gestes n’ont pas lieu d’être dans un espace de travail. Si une minorité les apprécie, ils sont rejetés par la majorité. Une approche tactile peut mettre mal à l’aise et crisper vos interlocuteurs les plus pudiques. Toucher un collègue pour le mettre en confiance a donc bien souvent l’effet inverse. En outre, la frontière entre une attitude tactile et un comportement proche de la drague ou du harcèlement sexuel est parfois floue. Pour plus de sécurité, dites-vous que vous ne pouvez toucher un interlocuteur que pour lui serrer la main.

Ne pas respecter la distance de sécurité

Aimez-vous sentir le souffle de votre interlocuteur dans votre nuque ou dans vos narines? Évidemment pas. Au-delà des problèmes d’hygiène (transmission de virus, postillons, mauvaise haleine), parler à quelques centimètres de son interlocuteur peut-être très perturbant. Une telle attitude doit être réservée à la personne qui partage votre vie. D’une manière symbolique, en parlant près de quelqu’un, vous vous approchez au plus près de son intimité. Pour vous répondre, votre vis-à-vis risque fort de s’éloigner ou de peu parler pour se débarrasser de vous au plus vite.

Baisser le regard devant son interlocuteur

Au travail, il est nécessaire de regarder votre interlocuteur dans les yeux. Un regard fuyant ne donne pas un sentiment de franchise et baisser les yeux renvoie un signal de soumission qui n’est pas adapté à une situation où il faut négocier, séduire et convaincre. L’œil est un instrument qui permet d’afficher de la confiance et d’augmenter la conviction de votre discours. Mais soyez prudent. S’il est conseillé de ne baisser les yeux en aucun cas, un regard trop soutenu peut  être perçu comme trop agressif. Si vous ne savez pas comment poser votre regard, n’hésitez pas à demander conseil à des proches. Le regard est trop important pour être négligé.

Faire des remarques sur le physique

Votre entreprise n’est pas un podium de défilé. Vous travaillez quotidiennement avec des collègues qui, pour des raisons personnelles, ne peuvent pas être aussi séduisants que vos attentes. Certains d’entre eux ont des défauts physiques qui peuvent vous hérisser. Mais vous devez faire abstraction de ces questions et vous focaliser uniquement sur le fond. Inutile de réveiller la susceptibilité ou les complexes d’un collègue. C’est totalement improductif. De plus, il se peut que la personne que vous vilipendez trouve à redire sur votre apparence physique. Au travail comme dans la vie, abstenez-vous de mentionner l’aspect physique.

Ne pas se tenir droit

Que pensez-vous de quelqu’un qui se tient avachi à son bureau toute la journée? D’après vous, s’agit-il d’une attitude à adopter au travail? Non. Ne pas se tenir droit confère un manque flagrant de dynamisme, de motivation et d’énergie. Une mauvaise posture a également un impact sur la voix qui devient moins claire et plus pâteuse. Cela se ressent même au téléphone. Dans tous les cas, essayer dans la mesure du possible de vous tenir droit au bureau. Si vous adoptez cette posture par fatigue ou par confort, dormez mieux ou optez pour un mobilier de bureau plus confortable.

Ne pas avoir l’esprit d’équipe

Si vous prêtez attention aux offres d’emploi, vous remarquerez sûrement que la majorité d’entre elles demande «la capacité à travailler en équipe». Il existe très peu de métiers où l’on puisse se permettre de travailler en autarcie. Travailler seul dans son coin est donc une attitude à bannir à tout prix. C’est une perte de temps pour le salarié qui a tout à gagner à poser des questions à ses pairs. Une personne qui travaille seule donne en outre l’impression de pouvoir tout contrôler elle-même, ce qui peut la faire passer pour arrogante. Si vous travaillez seul par timidité, n’hésitez pas à vous ouvrir à vos collègues. Ils sont sûrement ravis de vous aider.

S’accaparer tous les succès

Tout bon résultat obtenu est le fruit d’un travail collectif dont personne, même au plus bas niveau de la hiérarchie, ne doit pas être dépossédé. Quel que soit le rang que vous occupez dans l’entreprise, ne vous accaparez pas seuls les lauriers de la victoire. Chacun est au courant qu’un succès ne repose pas sur une personne seule. Ne passez pas pour un égoïste, un menteur et un vantard. Lors d’une prise de parole publique, n’hésitez pas à remercier et à rendre hommage à toutes les parties prenantes d’un succès. Vous en sortirez grandi et apprécié.

Ne pas faire sa part de travail

Tout travail s’effectue en équipe. Mais attention à ne pas reposer sur vos collègues. Il est techniquement possible d’être tire au flanc. Quoiqu’il arrive, il y aura toujours quelqu’un d’investi qui sera prêt à travailler à votre place. Mais que ce soit de manière formelle (reporting) ou informelle (discussion au coin d’un couloir), votre paresse sera tôt ou tard démasquée. Et vous aurez intérêt à trouver de solides arguments pour vous justifier. Le travail de groupe est délicat, car vous jouez une part importante de votre crédibilité. Vous êtes sous les feux des projecteurs. Si votre activité est remarquée, il en est de même pour votre paresse.

Faire des promesses intenables

Un salarié se juge sur les résultats plus que sur ses paroles. Si vous estimez qu’une tâche ne pas être remplie correctement, mieux vaut négocier à la baisse que de promettre l’impossible. Généralement, votre supérieur ne vous en voudra pas si vous expliquez, arguments à l’appui, la difficulté de remplir une mission. En revanche, vous êtes dans l’obligation de réussir un travail que vous aviez promis d’effectuer. Sinon, votre chef risque de vous en tenir rigueur. Veillez également à ne pas vous surestimer lors de votre entretien d’embauche. Pourquoi dire que vous êtes en capacité de négocier en allemand alors que vous avez étudié la langue Goethe 4 ans il y a une vingtaine d’années?

 

Pour consulter l’article, cliquez sur le lien